Quelles sont les quatre étapes du stress dans le sport ?

Les quatre étapes du stress dans le sport ne sont pas explicitement énumérées dans le texte fourni. Cependant, nous pouvons déduire certaines étapes ou composantes du processus de stress tel que décrit : 1. Le stress peut survenir lorsqu’il y a un déséquilibre entre les demandes que nous impose une situation et les ressources que nous estimons posséder pour y faire face. 2. Le stress provient d’une partie du cerveau, appelée amygdale, qui gère le processus lors d’une situation de danger ou de menace, et envoie des indications à différents organes du corps par le biais des hormones et des neurotransmetteurs. 3. Lorsque le corps perçoit le stress, il peut relâcher des hormones comme l’adrénaline (dans le cas d’un « Challenge state ») ou le cortisol (dans le cas d’un « Threat state »), qui ont des effets différents sur les performances et la santé. 4. Si le stress devient chronique, cela peut avoir des conséquences négatives sur les performances sportives, la santé physique et mentale, incluant une baisse des performances, une augmentation des risques de blessures, une perte de motivation, et des risques de développer des maladies plus graves à long terme. Ces points offrent une vision générale des étapes impliquées dans le processus de stress dans le contexte du sport, bien qu’ils ne soient pas présentés comme une liste formelle de quatre étapes dans le texte original.

La phase d'alarme Notre organisme mobilise toutes ses ressources pour affronter la situation notamment grâce à la libération d'adrénaline et de noradrénaline. Ces hormones ont une action très large : elles agissent sur le coeur et les poumons pour augmenter les fréquences cardiaque et respiratoire elles entraînent une réorientation du flux sanguin vers les muscles au détriment notamment du système digestif elles permettent de mobiliser les stocks d'énergie en favorisant le passage dans la circulation sanguine du glucose dont les muscles peuvent avoir besoin La phase de résistance Si le stress persiste, de nouvelles hormones sont sécrétées : les glucocorticoïdes. Elles prennent le relais pour maintenir la production de glucose à un niveau élevé afin de répondre aux besoins à moyen terme de l'organisme. La phase d'épuisement Si le stress se prolonge encore, les ressources énergétiques de l'organisme s'épuisent et le taux de glucose dans le sang chute, ce qui aura un impact négatif sur le rendement musculaire.